Cet été, j’ai passé quinze jours sur l’Ile de Pré Britenne. Quinze jours au calme, coupé de l’info. Bien sûr, j’ai appris qu’il y avait eu des Jeux Olympiques, des attentats. Et, plus important, un projet de réforme constitutionnelle pour légiférer une bonne fois pour toutes sur la forme des maillots de bain autorisés sur les plages françaises.
Mais là, j’ai passé quinze jours à n’écouter comme info le matin que : le bruit du vent, les chants des oiseaux.
De mon séjour sur l’Ile de Pré Britenne, j’ai rapporté quelques paysages, peints sur le motif, en représentant un peu le bruit du vent, et très discrètement les chants des oiseaux. Quand on prend le temps de regarder l’un de ces paysages, et pas tous à la fois, on peut percevoir ces sons et ces chants, mais seulement s’il n’y a pas de bruit à côté.
D'autres vues à paraître, plus tard...